Planteuses à miscanthus

Début mai 2010, La Chambre d'Agriculture de Picardie a organisé une démonstration de plantation de rhizomes de miscanthus avec plusieurs planteuses différentes.

Il en ressort que la planteuse semi automatique mise au point par la société Novabiom serait le meilleur compromis selon la France Agricole.

Pour plus de détails, consulter l'article complet de la France Agricole au format pdf.

Planteuse à miscanthus de NovaBiom

Le 8 septembre 2009, Bical Biomasse France devient NovaBiom

Le spécialiste français du miscanthus Bical biomasse france devient en septembre 2009 la société NovaBiom.

Cette nouvelle société dispose d'importantes surfaces de pépinières de rhizomes de miscanthus giganteus pour pouvoir implanter chez les agriculteurs ou les industriels des parcelles miscanthus à grande échelle.
Vous trouverez plus d'infos sur le site internet de Novabiom.

www.novabiom.com

Ratios énergétiques

Ratios énergétiques de différents modes d'utilisation de la biomasse en énergie :
*En cogénération électricité vapeur
**En combustion dans chaudière de 60 kw

Sources :

(A) Miscanthus × Giganteus straw and pellets as sustainable fuels. Weber et al. Université de Metz.
(B) Etude Ademe / Direm 2002, Solagro
(C) Université de l'Illinois (USA)
(D) Elsayed, M.A., Matthews, R. & Mortimer, N.D. 2003. Carbon and energy balances for a range of biofuels options. Rapport pour ETSU : B/B6/00784/REP. DTI/Pub URN 03/836.

TTCR de saules dans l'Aube

Dans le cadre d'un projet régional d'expérimentation, l'Aube et la Haute Marne expérimentent le TTCR de saule.
Au printemps 2007, plusieurs plateformes d'essais ont été mises en place. 17 clones de saule d'origine diverses (France, Irlande et Suède) sont ainsi comparées sur plusieurs types de sols.

Le but étant de mettre en évidence les clones ou mélanges de clones les plus adaptés au contexte pédoclimatique local.
La demande est en passe de se concrétiser avec la validation, trés prochainement, d'importants projets de cogénération localement. Sur le département de l'Aube, les besoins en biocombustibles sont de l'ordre de plusieurs centaines de milliers de tonnes d'ici 3 ans. La paille sera la principale source dans un premier temps mais les industriels se penchent déjà vers les cultures pérennes à biomasse.